Mêlant influences wave post-rock et chanson française à textes, l’Etrangère est seule sur scène avec son looper, sa boîte à rythmes vintage et ses multiples instruments. Portée par le son d’une guitare électrique entre arpèges cristallins et powerchords saturés, des lignes de basse minimalistes, des bourdons entêtants et des accords étranges au piano/violoncelle, elle pose avec sa voix sensible, souvent fragile, parfois puissante, des textes intimes mais universels, politiques mais surtout poétiques, d'une actualité brûlante tout en étant intemporels. Une rencontre du troisième type entre Damien Saez, Mazzy Star, et Tash Sultana. L’Étrangère se réfère au livre de Camus, au poème de Baudelaire ainsi qu'à l'expérience d'avoir vécu 10 ans en Thaïlande dans un milieu thaï, alors appelée par tous "l'étrangère" . Ce nom est également un positionnement politique, résolument humaniste et internationaliste.
aragraph.
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